Busou Shoujo Machiavellism – Présentation

Fudou Nomura a été transféré dans un nouveau lycée. Il s’agit d’un lycée accueillant les délinquants, aux règles très strictes et dominé par le conseil des 5 épées (5 jeunes filles). Il s’agit des gardiennes des mœurs et de la morale; Elles sont appelées les 5 épées car elles ont l’autorisation de porter une épée dans l’enceinte de l’établissement. Elles sont évidemment habilitées à les utiliser. Nomura a été muté dans ce lycée suite à son implication dans un incident suite auquel il aurait mis K.O. 40 personnes. Dans les faits, il s’est finalement fait battre par Kirukiru Amou véritable source de ses ennuis. Il a décidé de se remettre dans le droit chemin et de ne point chercher querelle. Mais voilà, la tradition de l’école veut que les garçons s’habillent… en filles… chose qui pour lui est inconcevable, question de dignité. Il s’accroche donc avec Rin Onigawara dès son arrivée. Cette dernière n’est autre qu’une des 5 épées… Le voilà donc déjà pris en grippe par le conseil et cela ne va pas aller en s’arrangeant car rapidement il apprend que le délinquant qui le précède se nomme… Amou…

En voilà une école qui est sexy mais vraiment très dangereuse. Des filles qui se baladent avec des armes et qui les sortent à la moindre occasion, heureusement que Nomura est fort et habile sinon il serait mort assez souvent… Evidemment il s’agit de fiction et l’objectif de la série est de combiner action et filles sexy sachant se défendre… Le scénario n’est pas très original mais l’équilibre humour/action est assez bon pour faire passer la pilule… Les personnages sont assez formatés pour ce type de série, le gars cool avec la ribambelle de jeunes filles qui tombent amoureuses de lui au fur et à mesure de leurs combats respectifs… sans jamais aller trop loin comme très souvent. Une série qui fait passer un bon moment mais qui ne restera pas dans les annales, elle sera assez vite oubliée/remplacée…

Personnages principaux :

Busou Shoujo Machiavellism, le trailer

Busou Shoujo Machiavellism, l’opening « Shoking blue » par Miku Itou