Dr Stone – 2019 – 24 épisodes – Aventures, Catastrophe, Science-Fiction
Un jour, l’humanité entière fut transformée en pierre. Bien des siècles plus tard, Taiju Ooki, jeune lycéen sort de son cocon. En effet, bien que prisonniers dans leurs cercueils de pierre, les hommes restent en sommeil. Seuls ceux dont la pierre s’est brisée, ont péri. Taiju part à la recherche d’autres survivants qui comme lui sont sortis de leur état d’hibernation. Rapidement il croise un de ses anciens camarades, Senku, qui semble réveillé depuis bien plus longtemps et dont la passion pour la science n’a pas d’égal. Senku s’est juré de traverser les 2 millions d’années d’évolution perdues et de ramener l’humanité à son état d’avant la catastrophe. Mais pour cela, tout est à recréer. Commence une aventure sans pareille pour ce génie de la science. Mais tout ne sera pas de tout repos, le monde ayant évolué sans l’homme et étant devenu dangereux pour ce dernier…
Dr Stone est une série au scénario original et rondement mené. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’action n’est pas privilégiée. Il se passe beaucoup de choses mais la plupart sont liées à la science. Beaucoup d’explications scientifiques qui peuvent en rebuter certains. Les événements ne s’enchainent pas trop vite, ce qui laisse le temps à la série de se développer. Les premières explications sont données et même si l’on a des indices, nous ne savons toujours pas pourquoi les humains sont devenus pierres. La fin de la saison annonce la suivante qui pourrait être plus mouvementée en terme d’action. Pas encore de date par contre.
Une pléthore de personnages parsème la série. La comédie est également au rendez-vous, mais plutôt sous forme de gags ponctuels. Une série intéressante et originale. Bravo.
Dr Stone est disponible en streaming : La série sur Crunchyroll
Personnages principaux :
Dr Stone, le premier opening « Good Morning World! » par BURNOUT SYNDROMES
Le second opening « Sangenshoku » par PELICAN FANCLUB
Le premier ending « Life » par Rude-α
Le second ending « Yume no Youna » par Yusuke Saeki