Pipistrello and the Cursed Yoyo est Metroidvania développé par Pocket Trap. Il est disponible depuis le 28 mai sur PC, Xbox Series X/S, PS4, PS5 et Nintendo Switch. Ce test est basé sur une version PC fournie par l’éditeur.
Table des matières
Un yoyo contre les corporations
Pippit est un jeune maître du yoyo issu d’une famille influente, les Pipistrello, qui règne sur la ville grâce à son monopole énergétique. Lors de sa visite annuelle, un complot éclate : des entreprises rivales tentent de renverser sa tante, Madame Pipistrello. Pippit se retrouve alors embarqué dans une aventure improbable mêlant vengeance, secrets industriels et humour absurde.
Un Metroidvania ultra dynamique
Pipistrello and the Cursed Yoyo repose sur une formule Metroidvania teintée de platforming, de puzzle-action et de combats à sauce Zelda 2D. L’exploration se déroule à travers 4 grands quartiers urbains, représentant plus de 1000 écrans interconnectés, chacun regorgeant de secrets et d’ennemis.
Yoyo acrobatique et combos à gogo
Votre principale arme ? Un yoyo, que vous utiliserez aussi bien pour vous battre que pour vous déplacer. Le jeu propose plus de 10 figures à débloquer et maîtriser, permettant de :
- Attaquer à distance ou en mêlée avec précision.
- Franchir des précipices, s’accrocher à des surfaces ou rebondir dans les airs.
- Chainer les figures pour créer des routes alternatives ou atteindre des zones cachées.
À cela s’ajoutent des capacités spéciales déblocables, des badges (plus de 40) modifiant votre manière de jouer, ainsi que des améliorations passives à acheter via un prêteur sur gages pas très net.
Les combats contre les boss sont souvent spectaculaires, avec des mécaniques originales et un vrai sens du rythme. De même jeu propose des puzzles à résoudre à l’aide des environnements et de votre yoyo.
Un univers plein d’humour et de personnalité
Visuellement, le jeu adopte un style cartoon pixel art fluide et lisible. Chaque quartier a sa propre ambiance : quartier geek, zones industrielles, stade survolté… C’est inventif, bourré de références et toujours surprenant. L’univers rappelle les jeux indés les plus barrés, avec un humour pince-sans-rire digne de LucasArts. Je suis par contre un peu plus mitigé sur le chara design, mais c’est vraiment une histoire de goût.
Côté musique, on retrouve Yoko Shimomura (Final Fantasy XV, Kingdom Hearts) en guest pour certains morceaux, ce qui offre une belle touche nostalgique. Le reste de la bande-son est tout aussi efficace, mêlant rythmes dynamiques et thèmes plus mystérieux.
Un Metroidvania original et attachant
| Pipistrello and the Cursed Yoyo est une aventure rafraîchissante qui mêle habilement humour, mécaniques inventives et gameplay ultra précis. Le concept du yoyo est brillamment exploité, et l’univers, bourré de personnalité, donne envie d’explorer chaque recoin de la ville. Un excellent cru pour les fans de Metroidvania originaux. | |
C’est pour vous si…
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Ce n’est pas pour vous si…
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Note : 4/5
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FAQ : Questions Fréquentes
1. Le jeu est-il disponible en français ?
Oui, il propose une interface et des sous-titres en français.
2. Le jeu tourne t’il sur Steam Deck ?
Oui le jeu tourne bien sur Steam Deck.
3. Le jeu est-il difficile ?
Certains défis demandent du skill et sont un peu raides, mais en insistant on finit par y arriver.
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