Maou Gakuin no Futekigousha II ~partie 2 – Présentation
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Maou Gakuin no Futekigousha II ~partie 2 – Présentation

Maou Gakuin no Futekigousha II ~partie 2 – avril à juillet 2024 – 12 épisodes – Action, Fantastique

(The Misfit of Demon King Academy: History’s Strongest Demon King Reincarnates and Goes to School with His Descendants Saison 2 Partie 2)

Attention, il s’agit de la partie 2 de la saison 2. La suite de cet article spolie les premières saisons de l’anime. Si vous ne les avez pas vues, vous pouvez vous reporter aux présentations respectives :

Maou Gakuin no Futekigousha – Présentation Maou Gakuin no Futekigousha II – Présentation

Synopsis

C’est le retour d’Anos Voldigoad. Après l’avènement de la vérité sur son identité il est privé d’académie de magie. Qu’à cela ne tienne, il lui suffit de prendre une autre apparence pour s’y rendre tout de même. Mais voilà les ennuis ne tardent pas à arriver. Cette fois, ce sont les Dieux qui s’y mettent. Une place est vacante et chaque Dieu désigne un candidat. Mais lequel des Dieux a désigné Anos en tant que postulent. Peut-être Militia, une déesse qu’Anos avait fréquenté à une époque très très très lointaine. En attendant, il se fait défier par les autres candidats. Sa vie tranquille n’est pas prête d’arriver !

Mon opinion

Le combat continue pour Anos et sa troupe. Bon, on ne tremble pas pour lui, il est bien trop fort et malin pour les autres. D’ailleurs ça rend la série quelque peu linéaire et ce combat des Dieux finalement n’en n’est pas vraiment un. Quelques révélations tout de même et des avancées pour ses disciples de la première heure. La série reste agréable à suivre tout le long. Pas encore d’annonce pour une éventuelle suite. Est-ce bien nécessaire ?

Disponibilité

Maou Gakuin no Futekigousha II ~partie 2 est disponible en streaming : La série sur Crunchyroll

Personnages complémentaires
Militia

doublée par

Aoi Yuuki

Ahid Alovo Agartz

doublé par

Toshihiko Seki

Arcana

doublée par

Nao Touyma

Vidéos

L’opening « Maou » par Burnout Syndromes

L’ending « Shingetsu » par Tomori Kusunoki


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